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Textes liturgiques
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Samedi 21 juillet 2012
15e semaine du temps ordinaire

Textes liturgiques © AELF, Paris

Première lecture : Livre de Michée, chapitre 2,  1-5
  Malheureux ceux qui, du fond de leur lit, méditent le crime, élaborent le mal ! Au point du jour, dès qu'ils en ont les moyens, ils l'exécutent. S'ils convoitent des champs, ils s'en emparent ; des maisons, ils les prennent ; ils saisissent le maître avec sa maison, l'homme avec son héritage. C'est pourquoi, ainsi parle le Seigneur : Moi, je médite contre cette engeance un malheur où ils enfonceront jusqu'au cou ; vous ne marcherez plus la tête haute, car ce sera un temps de malheur. Ce jour-là, on composera sur vous une fable, on chantera une lamentation dans laquelle vous direz : « Nous sommes entièrement dépouillés ! Notre part nous est enlevée ! Hélas ! Elle nous échappe ! Nos champs sont partagés entre des infidèles ! » Non, vous n'aurez plus personne qui assure, dans l'assemblée du Seigneur, la distribution des parts.
 
Psaume 9b (10) :    N’oublie pas, Seigneur, le cri des malheureux.
 

Pourquoi, Seigneur, es-tu si loin ?
Pourquoi te cacher aux jours d’angoisse ?
L’impie, dans son orgueil, poursuit les malheureux :
ils se font prendre aux ruses qu’il invente.
L'impie se glorifie du désir de son âme,
l’arrogant blasphème, il brave le Seigneur ;
plein de suffisance, l’impie ne cherche plus :
« Dieu n’est rien », voilà toute sa ruse.
Sa bouche qui maudait n’est que fraude et violence,
sa langue, mensonge et blessure.
Il se tient à l’affût près des villages,
il se cache pour tuer l’innoncent.
Mais tu as vu : tu regardes le mal et la souffrance,
tu les prends dans ta main ;
sur toi repose le faible,
c’est toi qui viens en aide à l’orphelin.

 
 
Evangile selon saint Matthieu, chapitre 12,14-21
  LLes pharisiens se réunirent contre Jésus pour voir comment le faire périr. Jésus, l'ayant appris, quitta cet endroit ; beaucoup de gens le suivirent, et il les guérit tous. Mais Jésus leur défendit vivement de le faire connaître. Ainsi devait s'accomplir la parole prononcée par le prophète Isaïe : Voici mon serviteur que j'ai choisi, mon bien-aimé en qui j'ai mis toute ma joie. Je ferai reposer sur lui mon Esprit, aux nations il fera connaître le jugement. Il ne protestera pas, il ne criera pas, on n'entendra pas sa voix sur les places publiques. Il n'écrasera pas le roseau froissé, il n'éteindra pas la mèche qui faiblit, jusqu'à ce qu'il ait fait triompher le jugement. Les nations païennes mettent leur espoir en son nom. »
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