Logo de Bibliques.comACCUEIL Prier avec la Bible
Textes liturgiques
 LIRE  |  EVANGILES  |  BIBLE COMMENTEE  |  PRIERE  |  VIE  |  DIEU  |  HOMME  |  HEBREU  |  GREC  |  LIENS  |  QUI  |  ÉDITIONS  |

 

Mardi 7 août 2012
18e semaine du temps ordinaire

Textes liturgiques © AELF, Paris

Première lecture : Livre de Jérémie, chapitre 30,1...22
  Parole qui fut adressée à Jérémie par le Seigneur : Ainsi a parlé le Seigneur, le Dieu d'Israël : Écris dans un livre toutes les paroles que je t'ai dites. Ainsi parle le Seigneur : Israël, tes fractures sont graves, et tes blessures, malsaines. Il n'y a personne pour intervenir en ta faveur ; pour un ulcère il y a des remèdes, mais pour toi, pas de guérison. Aucun de ceux qui t'aimaient ne se souvient de toi, personne ne te recherche. Oui, je t'ai frappé comme fait un ennemi, je t'ai châtié avec rigueur, à cause de tes fautes nombreuses, de tes énormes péchés. Pourquoi crier à cause de tes fractures, de ta grave maladie ? C'est pour tes fautes nombreuses, pour tes énormes péchés que je t'ai infligé cela.
Ainsi parle le Seigneur : Voici que je vais ramener de captivité les tentes de Jacob, je prendrai en pitié ses demeures ; la ville sera rebâtie sur ses ruines, la citadelle sera rétablie en sa juste place. Les actions de grâce en jailliront avec des cris de joie. Bien loin de diminuer ses fils, je les multiplierai ; bien loin de les abaisser, je les glorifierai. Ils seront comme autrefois, leur communauté se maintiendra devant moi, car je punirai tous ses oppresseurs. Elle aura pour prince l'un des siens, un chef né au milieu d'elle. Je lui permettrai d'approcher et il aura accès auprès de moi. (Qui donc, en effet, a jamais osé de lui-même s'approcher de moi ?) Vous serez mon peuple, et je serai votre Dieu. Parole du Seigneur. »
 
Psaume 101 (102) :    Quand Dieu rassemblera son peuple, sa gloire apparaîtra.
 

Les nations craindront le nom du Seigneur,
et tous les rois de la terre, sa gloire :
quand le Seigneur rebâtira Sion,
quand il apparaîtra dans sa gloire,
il se tournera vers la prière du spolié,
il n’aura pas méprisé sa prière.
Que cela soit écrit pour l’âge à venir,
et le peuple à nouveau créé chantera son Dieu :
« Des hauteurs, son sanctuaire, le Seigneur s’est penché ;
du ciel, il regarde la terre
pour entendre la plainte des captifs
et libérer ceux qui devaient mourir. »
Les fils de tes serviteurs trouveront un séjour,
et devant toi se maintiendra leur descendance.
On publiera dans Sion le nom du Seigneur
et sa louange dans tout Jérusalem,
au rassemblement des royaumes et des peuples
qui viendront servir le Seigneur.

 
 
Evangile selon saint Matthieu, chapitre 14,22-36
  Aussitôt après avoir nourri la foule dans le désert, Jésus obligea ses disciples à monter dans la barque et à le précéder sur l'autre rive, pendant qu'il renverrait les foules. Quand il les eut renvoyées, il se rendit dans la montagne, à l'écart, pour prier. Le soir venu, il était là, seul.
La barque était déjà à une bonne distance de la terre, elle était battue par les vagues, car le vent était contraire. Vers la fin de la nuit, Jésus vint vers eux en marchant sur la mer. En le voyant marcher sur la mer, les disciples furent bouleversés. Ils disaient : « C'est un fantôme », et la peur leur fit pousser des cris. Mais aussitôt Jésus leur parla : « Confiance ! c'est moi ; n'ayez pas peur ! » Pierre prit alors la parole : « Seigneur, si c'est bien toi, ordonne-moi de venir vers toi sur l'eau. » Jésus lui dit : « Viens ! » Pierre descendit de la barque et marcha sur les eaux pour aller vers Jésus. Mais, voyant qu'il y avait du vent, il eut peur ; et, comme il commençait à enfoncer, il cria : « Seigneur, sauve-moi ! » Aussitôt Jésus étendit la main, le saisit et lui dit : « Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ? » Et quand ils furent montés dans la barque, le vent tomba. Alors ceux qui étaient dans la barque se prosternèrent devant lui, et ils lui dirent : « Vraiment, tu es le Fils de Dieu ! »
Ayant traversé le lac, ils abordèrent à Génésareth. Les gens de cet endroit reconnurent Jésus ; ils firent avertir toute la région, et on lui amena tous les malades. Ils le suppliaient de leur laisser seulement toucher la frange de son manteau, et tous ceux qui la touchèrent furent sauvés.
Lectures d'hierLectures de demain Retour en haut