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Textes liturgiques
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Mardi 9 juillet 2013
14e semaine du temps ordinaire

Textes liturgiques © AELF, Paris

Première lecture : Livre de la Genèse, chapitre 32,23-32
  Cette nuit-là, Jacob se leva, il prit ses deux femmes, ses deux servantes, ses onze enfants, et passa le gué du Yabboq. Il leur fit traverser le torrent et il fit passer aussi tout ce qui lui appartenait. Jacob resta seul. Or, quelqu'un lutta avec lui jusqu'au lever de l'aurore. L'homme, voyant qu'il ne pouvait pas le vaincre, le frappa au creux de la hanche, et la hanche de Jacob se démit pendant ce combat. L'homme lui dit : « Lâche-moi, car l'aurore s'est levée. » Jacob répondit : « Je ne te lâcherai que si tu me bénis. » L'homme lui demanda : « Quel est ton nom ? - Je m'appelle Jacob. - On ne t'appellera plus Jacob, mais Israël (ce qui signifie : Fort contre Dieu), parce que tu as lutté contre Dieu comme on lutte contre des hommes, et tu as vaincu. » Jacob lui fit cette demande : « Révèle-moi ton nom, je t'en prie. » Mais il répondit : « Pourquoi me demandes-tu mon nom ? » Et à cet endroit il le bénit.
Jacob appela ce lieu Pénouël (ce qui signifie : Face de Dieu), car il disait : « J'ai vu Dieu face à face, et j'ai eu la vie sauve. » Au lever du soleil, il traversa le torrent à Pénouël. Il resta boiteux de la hanche.
 
Psaume 16 (17) : Le jour viendra, Seigneur, où nous verrons ta gloire.
 

Seigneur, écoute la justice !
De ta face, me viendra la sentence :
tes yeux verront où est le droit.

Tu sondes mon coeur, tu me visites la nuit,
tu m'éprouves, sans rien trouver ;
mes pensées n'ont pas franchi mes lèvres.

J'ai gardé le chemin prescrit ;
j'ai tenu mes pas sur tes traces :
jamais mon pied n'a trébuché.

Montre les merveilles de ta grâce,
toi qui libères de l'agresseur
ceux qui se réfugient sous ta droite.

A l'ombre de tes ailes, cache-moi,
et moi, par ta justice, je verrai ta face :
au réveil, je me rassasierai de ton visage.

 
 
6
Evangile selon saint Matthieu, chapitre 9,32-38
  On présenta à Jésus un possédé qui était muet. Lorsque le démon eut été expulsé, le muet se mit à parler. La foule fut dans l'admiration, et elle disait : « Jamais rien de pareil ne s'est vu en Israël ! » Mais les pharisiens disaient : « C'est par le chef des démons qu'il expulse les démons. »
Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages, enseignant dans leurs synagogues, proclamant la Bonne Nouvelle du Royaume et guérissant toute maladie et toute infirmité.
Voyant les foules, il eut pitié d'elles parce qu'elles étaient fatiguées et abattues comme des brebis sans berger. Il dit alors à ses disciples : « La moisson est abondante, et les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson. »
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